Des paysages sonores délicats, insolites, colorés, vous transporteront dans une nature luxuriante, parfois effrayante, peuplée de personnages mythologiques et légendaires :
“Ondine et le Faune" sont deux figures mythiques et fantasmées, à la croisée du monde humain et du monde animal; en ce sens, elles synthétisent à la fois les parts conscientes et inconscientes de l'imaginaire.
Ondine...une jeune femme jolie, blonde, ingénue et terriblement sensuelle, que l'on croise toujours près des fontaines, emportant les hommes dans leur désir; elle est la naïade inlassablement poursuivie.
Le Faune(créature légendaire qui apparait dans la mythologie romaine) est frénétiquement hanté par la possession du féminin, tendu et porté par un désir exacerbé.Habile musicien, il aime jouer à la flûte des airs entraînants.
Depuis l'antiquité, on associe la flûte aux vertus surnaturelles et à la vie pastorale. C'est l'instrument de l'harmonie intérieure, de l'inspiration, de la sagesse divine. Elle sert d'attribut à de nombreuses divinités (Krishna)
Ce récital est conçu sous forme d’un concert commenté autour d’œuvres de Reinecke, Roussel, Debussy et De Falla.
« Prélude à l'après-midi d'un faune », transcription de Gustave Samazeuilh. La poésie de Stéphane Mallarmé inspira à Debussy une partition aussi libre qu’onirique :
"Ce sont plutôt des décors successifs à travers lesquels se meuvent les désirs et les rêves d’un faune dans la chaleur de cet après-midi. Puis, las de poursuivre la fuite peureuse des nymphes et des naïades, il se laisse aller au soleil enivrant, rempli de songes enfin réalisés, de possession totale dans l’universelle nature » Debussy
Manuel De Falla(1876-1946)
« Danse rituelle du feu », transcription de Paul Kochanski
Cetteœuvrecrée une atmosphère emplie de mystère et de superstition. Elle est tirée du ballet-pantomime de De Falla "L'Amour sorcier", qui raconte l'histoire d'une jeune gitane andalouse délaissée qui décide de recourir à la sorcellerie pour reconquérir le cœur de son amant.
Camille Girod, Flûte traversière
Elle a étudié au Conservatoire de Dijon puis à la Haute École de musique de Genève dans la classe de Jacques Zoon. Elle est invitée à se produire avec divers ensembles de renom de musique classique ou contemporaine (Orchestre de la Radio Suisse Romande, Orchestre de Chambre de Genève, l'ensemble de musique contemporaine « Contrechamps », l’Orchestre Dijon Bourgogne )
Parallèlement, attirée par différentes esthétiques et langages artistiques, elle étend ses possibilités expressives aux musiques et danses anciennes (Renaissance française, Baroque), aux musiques de traditions orales d’Inde du nord et Arabo-Andalouses.
Ses ouvertures musicales mêlées à sa pratique du théâtre lui
permettent des rencontres et créations multidisciplinaires avec des
comédiens, danseurs, improvisateurs et musiciens de différentes
cultures.
Son goût pour la création artistique, elle le partage dans son enseignement au conservatoire de Chenôve où elle enseigne la flûte traversière.
Clara Adam, piano
Elle débute le piano à 12 ans au conservatoire de Versailles où elle obtient un premier prix de piano dans la classe d'Edda Erlensdottir. Elle poursuit ses études musicales au conservatoire de Montpellier où elle reçoit l'enseignement de grands pianistes lors de classes de maître ou stages, parmi lesquels Nicolaï Lugansky, Elisabeth Léonskaja, Roger Muraro ou Hortense Cartier-Bresson.
Elle obtient un diplôme d'études musicales avec mention très bien à l'unanimité du jury et suit un cycle de perfectionnement instrumental dans la classe de piano de Pascal Jourdan.
Désireuse d'approfondir ses connaissances pédagogiques, elle entre au Cefedem Bourgogne et obtient un diplôme d'état de professeur de piano.
Elle se produit régulièrement en musique de chambre, accompagnement chanteurs ou soliste. Son approche didactique de la musique l'amène à créer notamment les spectacles « Compositrices de l'ombre :Fanny Mendelssohn et Clara Schumann » ou « Frédéric Chopin, la note bleue ».
Clara Adam enseigne le piano au Conservatoire à rayonnement communal de Chenôve et à l'Association Culturelle Fontainoise.
Nous avons déjà accueilli Camille et Clara à la Scène Fontainoise
Les spectateurs sont venus nombreux partager un voyage aux confins des arts où musique et peinture dialoguent; ils ont pu ainsi découvrir Alfred Manessier (1911-1993), peintre français non figuratif, considéré comme un des maîtres de la nouvelle École de Paris...et Bertrand Coynault, pianiste d'une qualité et d'une sensibilité remarquables.
Interview de Bertrand Coynault la veille du concert par France Bleu Bourgogne
"La construction d'une œuvre est mélodique, comparable à celle d'une symphonie" Alfred Manessier
le à celle d'une symphonie
"C’était à un véritable spectacle que le public de ce 19 janvier était convié au Centre Pierre Jacques de Fontaine-lès-Dijon.
Le jeune pianiste, Bertrand Coynault, proposait en effet l’un des opus de ses « Toiles Musicales » intitulé « Alfred Manessier, peindre la lumière ».
Et c’est au cœur d'une véritable féerie sensorielle qu’il emmena le spectateur…
Le pianiste, dans une lumière discrète, mais dominé par un grand écran d’une belle luminosité, déroula un spectacle entièrement conçu par lui-même, associant des pièces musicales soigneusement choisies aux images d’une vidéo de sa conception.
Et c’est ainsi à une découverte de l’œuvre d’Alfred Manessier qu’il associa l’écoute de Préludes de Debussy, de Nocturnes de Chopin et de quelques autres œuvres du grand répertoire pianistique.
Au début, on pouvait penser assister à un diaporama, les tableaux présentés apparaissant dans une grande immobilité. Mais très progressivement on s’apercevait, au fil du déroulement musical, que l’on était entraîné dans un « zoom arrière » qui dévoilait des parties au début cachées du tableau. Ainsi la Vieille voile, invisible lors des
premières secondes, entrait progressivement en scène pour occuper au final la partie centrale de l’écran, cependant qu’étaient égrenées les dernières mesures des Voiles de Debussy.
Mais aussi, comme descendant du ciel, les tableaux intitulés les Tours (Tour au Crépuscule, Tour de Minuit, etc.) apparaissaient dans leur verticalité, dévoilant la richesse et la profondeur de leurs couleurs, accompagnées par un Chopin qui dans ses Nocturnes nous fit vivre d’intenses moments d’émotion.
Ou encore, agrandies en des fresques ornant des espaces en trois dimensions, les lithographies illustrant les Cantiques spirituels se mariaient merveilleusement avec une grande Partita de J.S. Bach.
C’est ainsi que Bertrand Coynault dévoila les différentes facettes de l’œuvre du maître, en un premier temps figuratif, évoluant vite vers ce qu’on appelle l’abstraction, mais une abstraction au service d’une spiritualité, parfois même d’un mysticisme qui occupa notamment certaines de ses dernières œuvres, en particulier des vitraux.
Ainsi captivés par cette fusion sensorielle, on en oublierait le formidable travail musical du pianiste, se révélant un magnifique interprète aussi bien de l’impressionnisme de Debussy que du romantisme de Chopin sans oublier les fulgurances de De Falla qui concluait le spectacle avec le tableau Flamboyant de Manessier.
Acclamé et rappelé par le public, l’artiste offrit en bis un impromptu de Schubert merveilleusement associé à une Passion de Manessier.
Nous espérons bien retrouver Bertrand Coynault dans un futur proche avec de nouvelles Toiles Musicales et en attendant, chacun peut aller découvrir quelques tableaux de Manessier au Musée des Beaux-Arts de Dijon, dans le secteur de la donation Granville."
OR
Diaporama " Les toiles musicales " Photos Stéphane Floreani
L’œuvre picturale de Manessier est plurielle : Dès l’âge de douze ans, il commence à peindre sur le motif des petites études en Baie de Somme au Crotoy dont la lumière l'inspirera tout au long de son œuvre. A partir de la Seconde Guerre mondiale, outre ses créations surréalistes, cubistes, abstraites, il produit des œuvres d’art sacré, notamment des
vitraux qui illuminent l'église Saint-Sépulcre d'Abbeville.
Manessier a également réalisé un nombre important d’œuvres de la catégorie des multiples : eau-forte, lithographies, sérigraphies… Il a notamment beaucoup utilisé la lithographie comme étape préparatoire à ses projets de tapisserie.
Ci-dessous, plusieurs vidéos pour découvrir Alfred MANESSIER :
Nathan Mierdl , 24 ans, vient d'être nommé premier violon solode l’Orchestre Philharmonique de Radio France.
Tremplins: Nathan Mierdl a suivi l’enseignement de l’Académie de l’Orchestre philharmonique de Radio France, puis celle de l’Orchestre de Paris, ce qui lui permettra d’entrer à l’Orchestre national de France comme tuttiste en 2017, puis de rejoindre en 2018 le Philharmonique de Radio France comme violon co-soliste.
Il partagera son nouveau poste de premier violon solo de la phalange avec Hélène Collerette et Ji Yoon Park.
Un grand bravo à Nathan habitué de nos Musicales, où il a plus d'une fois conquis l'auditoire par sa jeunesse, sa technique, sa musicalité et son enthousiasme passionné.
- Brahms : Sonate pour violon et piano n° 3 Opus 108 (1888)
- Finzi : Sonate Winternacht – 2018 pour violon et piano
- Beethoven, Sonate pour piano et violon n°5 en fa majeur, Opus 24,
31 mars / 1er avril / 2 avril 2023
Les Musicales en Folie fêteront leurs 10 ans
" les Chefs-d'œuvre de la musique classique"
Vos interprètes favoris dans un programme de folie !
Anne Queffélec / Gaspard Dehaene / Eric Artz / Eve-Melody Salom / François & Olivier Robin, Natacha Melkonian / L'Orchestre Dijon Bourgogne dirigé par Joseph Bastian / L'Ensemble Orchestral de Dijon, dirigé par Flavien Boy / les élèves du Conservatoire régional de Dijon.
La Scène Fontainoise est une association loi de 1901, qui propose, en étroit partenariat avec la Ville de Fontaine-lès-Dijon, au Centre d'Animation Pierre Jacques, une saison artistique.
Renseignements : 06 01 96 12 47
Le Blog de la Scène Fontainoise :
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Centre d'Animation Pierre Jacques - Photo Nicolas LEBLANC
Le dialogue entre musique et peinture est une approche innovante du récital :L’ensemble se construit tel un opéra où les œuvres d’art sont à la fois le décor sublime et les personnages principaux. La dramaturgie du récital fait ainsi écho à celle des toiles.
Ces dernières sont réunies dans un film projeté sur grand écran qui vous conduira dans l’intimité des tableaux. Les mouvements de caméra sur les peintures se définissent à partir de la partition et répondent aux rythmes et harmonies.
Les œuvres réunies pour ce spectacle ont été choisies avec Christine Manessier, fille du peintre. Elles permettent de découvrir l’évolution de la représentation de la lumière et la couleur, pour lesquelles Alfred Manessier avait une grande passion, depuis les œuvres de jeunesse en baie de Somme vers l’abstraction, en passant par
la spiritualité et une escale espagnole.
puis lesNocturnesdeChopin (Nocturnes op.15 n°1, op. 27 n°1 et 2, op.55 n°1, op.48 n°1)
font écho à la monumentale série desTours, véritables visions sublimées de la nuit, inspirées par le paysage urbain de la banlieue de Clamart.
2 - Spiritualité et lumières d’Espagne (1958-1966)
La seconde partie, consacrée au mysticisme des douze lithographies illustrant les Cantiques spirituels de Saint Jean de la Croix ( Partitan°2 BWV 826deBach) s'achève en apothéose dans les couleurs chaudes de la période espagnole avec La Puerta del vino (Prélude de Debussy), Evocation d’Albeniz et laDanse rituelle du feu de Manuel de Falla.
Baigné dans la musique classique depuis son plus jeune âge, Bertrand Coynault remporte à 13 ans le concours Steinway & Sons. Ce sont sans nul doute ses rencontres avec les concertistes Marie-Josèphe Jude et Elena Varvarova qui vont le pousser à se lancer dans une carrière de soliste. Formé par l’école russe, il se fait remarquer par ses programmes audacieux et son lyrisme naturel. Chopin, Debussy, Ravel et Scriabine font partie de son répertoire de prédilection.
Soucieux d’apporter une vision totale de l’art au public, il crée en 2016 son spectacle Les Toiles Musicales, véritable voyage aux confins de l'art où la musique et la peinture dialoguent : Le numérique se mêle désormais au récital pour une expérience sensorielle au cœur des Beaux-Arts.
Le succès des Toiles Musicales l’amène à collaborer avec les musées et les fonds
privés pour développer les futurs opus du spectacle.
Bertrand Coynault se produit dans de nombreuses salles et festivals en récital et avec Les Toiles Musicales, où ses prestations sont toujours hautement saluées par la critique.
Il a enregistré en 2015 les 24 préludes de Chopin à l'occasion du spectacle Chopin-
Sand, Un hiver à Majorque avec la comédienne Vannick Le Poulain.
Les toiles musicales sur BFC Classique : interview de Bertrand Coynault
« ALFRED MANESSIER – Peindre la lumière » ni ciné-concert, ni diaporama sonorisé, un spectacle imaginé comme un opéra, comme l’explique Bertrand Coynault…
Alfred Manessier, né le 5 décembre 1911 à Saint-Ouen (Somme) est mort le 1ᵉʳ août 1993 à Orléans, victime d'un accident de la route. C'est un peintre non figuratif français, considéré comme un des maîtres de la nouvelle École de Paris.
C’est Le Crotoy, entre mer et campagne, qui va bercer son enfance et lui inspirer sa vocation de peintre dès ses 12 ans. La campagne picarde, avec la lumière fine et changeante de la Baie de Somme, l’anime.
À partir de 1924, il reçoit un enseignement académique à l’École régionale des beaux-arts d’Amiens, puis est reçu à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris. En marge de l’École des beaux-arts, il se rend souvent au Musée du Louvre pour copier les œuvres d’art de Tintoret, Titien, Rubens et surtout Rembrandt qu’il admire plus que tout… Après son mariage en 1938, il s'installe dans le 15ème arrondissement de Paris, dans un pavillon-atelier au 203 rue de Vaugirard, où il travaillera sur ses œuvres pendant 33 ans.
Les débuts de la guerre (mobilisation) l’obligent à délaisser la peinture qu’il reprend en 1942. Il achète alors une petite maison paysanne dans le Perche, "Le Bignon", où il reçoit de nombreux artistes, notamment le poète Camille Bourniquel, qui deviendra son ami et avec lequel il suivra une retraite spirituelle à la Grande Trappe de Soligny en septembre 1943 qui marquera profondément sa sensibilité : L’artiste développera tout au long de son œuvre un lien fort avec l’art sacré. Peinture, vitrail et tapisserie seront le support d’une interprétation non-figurative de sujets religieux, de saints, de la vie et de la Passion du Christ.
A Paris, le peintre Alfred Manessier se plonge dans l’effervescence artistique d’après-guerre. Ses peintures sont d’abord influencées par le Cubisme et le Surréalisme, avant de devenir non-figuratives, voire abstraites sans jamais se détacher du réel et de l’émotionnel.
A partir de 1949, expositions personnelles et collectives se succèdent en France et à l'étranger (Sao Paolo - Pittsburgh - Venise...)
Il se tourne aussi vers l’œuvre sur vitrail: En effet, son ami Georges Rouault avait
déjà suggéré un écho entre son travail sur toile et l’aspect du vitrail. En décembre 1948, Alfred Manessier reçoit sa première commande de vitrail pour une église, celle de Saint-Agathe des Bréseux, près de Besançon : c’est le début d’une longue collaboration entre le peintre et les maîtres-verriers, entre l’artiste et l’art sacré...tout spécialement à Abbeville où une série de 31 vitraux de la Passion et de la Résurrection du Christ orne l’église du Saint-Sépulcre.
Alfred Manessier s’intéresse également à la technique de la tapisserie, travaille aussi
sur les arts scéniques et conçoit des décors et des costumes de théâtre. L’artiste s’adonne également à la pratique de la lithographie: Il réalise entre autres un album de quinze tableaux sur le thème de Pâques.
De nombreux travaux complètent son œuvre : vêtements liturgiques, mosaïques, émaux, livres illustrés.
Manessier est très présent dans les musées du monde entier. En France: Paris (Art moderne, Mobilier national), Amiens, Beauvais, Dunkerque, Grenoble, Le Havre, Lyon, Metz, Meudon, Nantes, Rouen, Saint-Dié, Saint-Étienne...
...et le musée des Beaux-Arts de Dijon, avec la donation Granville)
Lumière et nature au cœur de la peinture d’Alfred Manessier
Alfred Manessier est sensible aux lumières du Nord (Baie de Somme, Flandres, Hollande, Canada, Suède), mais aussi aux lumières du Sud (Provence, Espagne, Algérie… et Brésil par l’imagination), à bien d’autres encore (Beauce, Ile-de-France, Banlieue parisienne, Perche, Bretagne, Jura…) La lumière ne cessera de l’animer tout au long de sa carrière artistique. Les transpositions picturales (dessin, lavis d’encre, aquarelle, huile…) des paysages qui l’ont ému profondément sont autant d’odes à la nature offertes « en direct » à notre propre sensibilité.
Par ailleurs, Manessier n’a pas craint dans sa peinture d’exprimer avec véhémence sa foi et sa révolte face à la souffrance, à l’injustice et aux drames de son temps.
Un artiste à découvrir
Evocation de l'œuvre d'Alfred MANESSIER
Peintre de l'abstraction et de la foi, Alfred Manessier a produit une œuvre ample et rythmée. Il s'oriente vers l'abstraction pure en 1943. Transcendé par la foi et la vision de Dieu, il réalise ainsi des vitraux pour de nombreuses églises et en particulier pour le St Sépulcre à Abbeville. Images d'archive INA Institut National de l'Audiovisuel
MANESSIER est peintre de l'abstraction. Elle exprime chez lui tout ce que l'homme ressent face à la nature et aux événements. Pour lui ce mouvement artistique n'est pas en déclin, au contraire : "nous sommes les primitifs d'un langage nouveau" , "les symphonies restent à écrire".
Camille Girod, flûte traversière et lecture Clara Adam, piano
Mardi 28 février 2023 20h
Soirée de présentation des " Musicales en Folie "
Samedi 4 mars 2023 10h - 15h non stop
1ère journée de réservation pour les Folies
Hall du CAPJ Rue des Carrois Fontaine-lès-Dijon
Jeudi 9 mars 2023 20h
Ensemble des Equilibres
Agnès Pyka, violon Laurent Wagschal,piano
31 mars / 1er avril / 2 avril 2023
Les Musicales en Folie fêteront leurs 10 ans
" les Chefs-d'œuvre de la musique classique "
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La Scène Fontainoiseest une association loi de 1901, qui propose,en étroit partenariat avec la Ville de Fontaine-lès-Dijon,au Centre d'Animation Pierre Jacques, unesaison artistique.
Renseignements : 06 01 96 12 47
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